Seconde Guerre Mondiale


SECONDE GUERRE MONDIALE

 

Contrairement à ce que l’on peut croire, l’Histoire de la Seconde Guerre Mondiale est très mal connue… Nous avons été abreuvé depuis plus d’un demi-siècle par la propagande occidentale hollywoodienne selon laquelle ce seraient les AMERICAINS qui l’auraient gagnée en écrasant les NAZIS… 
C’est en partie vrai mais en grande partie FAUX !
Les Américains ont bien participé à la terminer, notamment dans le Pacifique, mais ils n’étaient entrés dans la guerre qu’après l’attaque de PERL HARBOR en Décembre 1941, et ne sont intervenus en Europe que plus tard, bien plus tard que les SOVIETIQUES attaqués, eux, six mois plus tôt en Juin 1951… 
En termes de victimes, les pertes américaines (de l’ordre de 250/400.000 soldats tués) sont nettement inférieures aux 26 millions de pertes russes, réparties autant en militaires qu’en civils.  

LIDDELL HART : « Histoire de la Seconde Guerre mondiale »

 

Avec l’objectivité et la précision du technicien, Sir Basil Liddell Hart décrit et juge la politique des grands soldats des deux camps: Montgomery, Churchill, Rommel, Guderian, etc. Encore qu’il lui en coûte, il conserve cette même objectivité lorsqu’il se penche sur le destin de Hiroshima et de Nagasaki.
Sa qualité exceptionnelle, son sujet, la clarté avec laquelle celui-ci est traité font de « l’Histoire de la Seconde Guerre Mondiale » un ouvrage de référence unique et indispensable.
Sir Basil Liddell Hart, qui a travaillé pendant vingt-deux ans à ce document capital, est mort avant d’avoir pu mettre la dernière main à son manuscrit. Les lacunes résultant de ce fait ont été comblées par le général Beaufre _ qui présente également l’ouvrage _ dans une longue postface où la participation de l’armée française à la Seconde Guerre mondiale est particulièrement mise en relief.

 

Nicolas BERNARD : « La guerre germano-soviétique: 1941/1945 »

 

22 juin 1941. Violant le pacte de non-agression conclu le 23 août 1939, l’Allemagne nazie envahit l’URSS. S’ouvre alors une guerre aussi colossale qu’inexpiable, qui fauchera plus de trente millions de personnes, soit la moitié des pertes causées par la Deuxième Guerre mondiale.

S’appuyant sur une ample documentation russe, allemande, anglo-saxonne, et s’affranchissant de plusieurs idées reçues, cette vaste fresque nous entraîne de « Barbarossa » à Moscou, de Stalingrad à Koursk, de la reconquête soviétique à la chute de Budapest et de Berlin, nous plongeant au cœur des opérations et des doctrines militaires dont elles procèdent.
L’auteur déchiffre les calculs de Hitler et de Staline, mais fait aussi une large part aux péripéties diplomatiques, à la dimension économique de l’affrontement, au déchaînement de violence qu’il génère, notamment la « Shoah par balles » qui se traduira par l’assassinat de plus d’un million trois cent mille juifs soviétiques par les nazis. Sans oublier le vécu des obscurs et des sans-grades, « matériel humain » d’une guerre totale et absolue.

« Ce que le lecteur retiendra, c’est la remarquable objectivité avec laquelle Nicolas Bernard traite les questions les plus délicates posées par cet affrontement titanesque entre deux tyrans, deux idéologies mortifères et deux peuples engagés malgré eux dans une guerre d’extermination. Même si certaines archives restent fermées à la recherche, il faudra sans doute bien des années avant qu’une œuvre aussi magistrale puisse être considérée comme dépassée. »